Quand un problème a une solution, ça ne sert à rien de stresser. Quand un problème n’a pas de solution, ça ne changera rien de stresser.
Si nous parvenons à modifier nos interprétations habituelles de ce qui nous arrive, nous pourrons réagir différemment.
Une pensé négative a plus de poids dans notre cerveau qu’une pensée positive.
Les pensées positives ne l’intéressent pas car elles ne sont pas utiles pour son évolution, sa progression.
Les pensées négatives arrivent donc plus facilement sur la scène de notre conscience.
Voici donc 3 questions qui pourront nous aider à transformer nos pensées négatives en pensées positives lors d’un évènement difficile :
Quels sont les faits ?
L’optimisme se nourrit de faits concrets, car les faits permettent de résister aux à priori.
Quelles sont les explications alternatives à cette situation ?
Souvent les évènements ont plusieurs causes, et les pessimistes choisissent la plus défavorable par… habitude pessimiste.
Peut-être que mon collègue est passé sans dire bonjour car il était absorbé par ses problèmes. Et non pas parce qu’il a décidé de me détester depuis hier – 17h02.
Est-il nécessaire de dramatiser ?
Une entorse à mon régime signifie-t-elle que je suis un goinfre ?
Si vous avez d’autres questions qui pourraient nous aider, n’hésitez pas !